"Winning isn't everything; it's the only thing."
Une parole certaine - partie 5
Mais lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été révélés, il nous a sauvés. Et il ne l’a pas fait à cause des actes de justice que nous aurions pu accomplir, mais conformément à sa compassion, à travers le bain de la nouvelle naissance et le renouvellement du Saint-Esprit qu'il a déversé avec abondance sur nous par Jésus-Christ notre Sauveur. Ainsi, déclarés justes par sa grâce, nous sommes devenus ses héritiers conformément à l'espérance de la vie éternelle. Cette parole est certaine. Tite 3:4-8Cette parole certaine est tout comme la première que nous avons vue il y a quelques semaines. Il s’agit principalement d’un rappel au message de l’évangile mais il énonce quelques points importants.
Premièrement, notre salut n’est pas « à cause des actes de justice que nous aurions pu accomplir, mais conformément à sa compassion ». Nous ne sommes pas des enfants de Dieu à cause de quoique ce soit de bon à notre sujet mais à cause de la grâce et de la miséricorde de Dieu.
Pour les personnes qui vivent dans le monde du sport, c’est un concept difficile à saisir. Comme le dit Greg Smith : « les athlètes professionnels sont constamment évalués. Ils vivent et meurent par des statistiques telles que les moyennes au bâton, les listes d'argent, les coups et les pourcentages de tirs bien cadrés ». Pour les athlètes de piste et plateau anglais, il y a un site internet qui enregistre leurs temps réalisés à chaque course – toujours ! Vous êtes dans une équipe car vos performances, conformément aux statistiques, prouvent que vous devez y être.
Mais lorsque vous venez à Dieu, vous devez laisser toutes vos statistiques et accomplissements derrière vous et compter uniquement sur sa grâce et sa miséricorde.
Paul termine avec une promesse incroyable, que nous sommes « héritiers conformément à l'espérance de la vie éternelle ». Nous faisons partie de la famille éternelle de Dieu. La vie humaine est courte ; la vie d’un athlète l’est encore plus. Ils disent PPL pour « Pas Pour Longtemps ». La récompense de Dieu pour son peuple dure à toujours.
J’ai lu une fois que les missionnaires en Chine avaient une tradition au cours du 19e siècle : lorsqu’ils se séparaient, ils ne se disaient jamais au revoir parce qu’ils savaient que les personnes qui connaissent Dieu ne se rencontrent jamais pour la dernière fois.