"Serious sport has nothing to do with fair play…it is war minus the shooting."
L’espérance que nous proclamons
Retenons fermement l’espérance que nous proclamons, car celui qui a fait la promesse est fidèle. Hébreux 10:23J'ai été récemment confronté à l'expression suivante : « un travail que vous ne pouvez pas quitter, un rêve que vous ne pouvez pas abandonner, un appel qui vous poursuivra pour toujours ». Beaucoup d'entre nous le vive au sujet du sport. Deux thèmes se distinguent dans le livre « Open » d'André Agassi : « Je déteste le tennis, je ne peux pas l'abandonner ». Il déteste la manière dont le tennis a dominé sa vie depuis qu'il est enfant, depuis l'exclusion de la majorité des autres choses. Mais il ne pouvait pas s'en défaire.
Chaque professionnel comprendra ce dilemme. Il y a des jours où vous aimeriez vous échapper de tout ça mais vous y reviendrez le jour suivant. Il y a tant d'espoir, de rêves inachevés, de choses à accomplir.
Mais la phrase « un travail que vous ne pouvez pas quitter, un rêve que vous ne pouvez pas abandonner, un appel qui vous poursuivra pour toujours » s’appliquerait aussi à la façon dont nous voyons notre confiance en Jésus. Il peut être difficile d'être un chrétien mais l'auteur de la lettre aux Hébreux nous appelle à « retenir fermement l’espérance que nous proclamons ». Parfois tout semble contre nous, mais nous devons tenir ferme dans notre foi en Jésus.
Beaucoup d’entre nous croient que Dieu nous a placé dans le monde du sport, afin d’utiliser nos talents pour sa gloire et pour le représenter dans notre équipe ou notre club. C’est notre appel !
Et souvenez-vous, spécialement lorsque c’est difficile, que « celui qui a fait la promesse est fidèle ».