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If I had to choose between my wife and my putter... well, I’d miss her.

Gary Player

Eric Liddell (1902-1945)

"Je crois que Dieu m'a fait dans un but - pour la Chine - mais quand je cours je sens son plaisir". Eric Liddell, les chariots de feux.

Si vous êtes suffisamment âgés, vous avez sûrement vu le film Les chariots de feux qui raconte l'histoire de deux coureurs britanniques aux Jeux Olympiques de 1924. Selon le film, Eric Liddell, favori aux 100 mètres apprit au cours du voyage pour les JO à Paris que la course des 100 mètres aura lieu un dimanche et il décida de ne pas courir. Il fut hâtivement inscrit pour la course des 400 mètres et gagna la médaille l'or, inspiré par le verset 1 Samuel 2 :30 : "Car j'honore ceux qui m'honorent".

Ceci n'est cependant pas tout à fait précis. Eric décida de ne pas courir les 100 mètres car c'était un dimanche mais il l'a su des mois avant et il s'est préparé pour les 200 et 400 mètres, décrochant le bronze pour les 200 mètres et l'or avec un nouveau record pour les 400 mètres.

Dans le film Eric dit ces mots : "je crois que Dieu m'a fait dans un but - pour la Chine - mais quand je cours je sens son plaisir et abandonner ceci serait le mépriser. Gagner est pour l'honorer." Bien sûr, ces mots ont été écrit par le scénariste et ce ne sont pas les mots exacts d'Eric. Mais ils permettent de bien retranscrire son attitude.

Eric a été décrit lors de son enterrement comme "l'homme le plus spirituel qui n'ait jamais existé". Parallèlement il avait un esprit de compétition acharné. Lorsque le missionnaire, Kenneth McAll invita Eric, des années après sa retraite, pour faire un jogging avec lui, Eric déclina poliment en disant : "lorsque je cours, je cours pour gagner. Je ne veux pas faire de jogging, mais je serais partant pour une promenade." Lors d'une occasion précédente à un rassemblement d'une église, une personne lui demanda comment il prévoyait de gagner une course qui semblait perdue d'avance. Cette personne attendait une réponse spirituelle mais Eric répondit : "je n'aime pas perdre !"

Pour Eric il n'y a pas de dichotomie entre être compétitif et être un chrétien. Son attitude montre une sainte compétitivité dans laquelle il se sentait en paix utilisant ses dons divins sportifs pour louer Dieu. Cependant, il ne perdit jamais son désir de gagner.



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