"I love the sense of satisfaction that I get when I’ve done a swimming workout or race, and know that I gave my whole being and heart to God in every moment of the swim. It’s the best worship I can offer him."
Le coeur d'un serviteur
Supposons s'il entre dans notre assemblée, un homme aux bagues d'or, magnifiquement vêtu, et entre aussi un pauvre vêtu de haillons. Si vous vous intéressez à l'homme qui porte des vêtements magnifiques et lui dites "Toi assieds-toi à cette bonne place", si au pauvre vous dites "Toi tiens-toi debout" ou "assieds-toi là bas au pied de mon escabeau" ; n'avez-vous pas fait en vous-mêmes une discrimination ? N'êtes vous pas devenus des juges aux raisonnements criminels ? Jacques 2 : 2-4.N'avez-vous donc jamais remarqué qu'il y a plus de gens qui souhaitent être un aumônier aux Jeux olympiques qu'à une équipe locale de sport ?
En premier lieu, beaucoup diront que nous ne pourrons jamais distinguer les gens de la même manière que Jacques. Etes-vous sûrs que le Prophète Nathan ne vous attend-il pas à la porte pour vous dire "Vous êtes l'homme" (2 Sam 12 : 7).
Lorsque nous servons, nos intensions ne sont pas toujours pures, soyons honnêtes ; c'est plaisant d'être un aumônier aux jeux olympiques que de l'être dans un club. Mais devant Dieu, les deux s'équivalent. Certains parmi nous sont appelés à être des aumôniers olympiques, d'autres pour servir au niveau local. La motivation est la même, pour montrer l'amour inconditionnel de Dieu aux sportifs qui ont besoin de Jésus.
Jésus ne prend plus soin du joueur qui est à ses premières expériences, qui est blessé, qui n'a pas vu son contrat renouvelé comme on le fait au superstar millionnaire. Notre ministère devrait être le même à l'endroit des deux. L'aumônier, qui passe aussi du temps avec les jeunes joueurs de l'équipe, les réservistes, le personnel administratif est supposé d'être plus respectable que le joueur qui passe juste son temps avec la première équipe.